Le vent se dépose
Valse valse danse
S’entre mèle, se perd
S’enlace, s’éprend
La chaleur se recueille
En l’eau qui abonde
Coule coule le ruisseau
Caresse sur la peau
Parcimonie d’automne
Sur un sol de printemps
Un parfum nouveau
Sur l’âme reposant
Comme il fait bon nue
Devant Galarneau
Un corps en paix
Sous un soleil aimant
Que brille et crépite
En ces bois de cèdres
À l’abri d’une haie
Belle aux bois dormant